« Lorsque nous sommes arrivés en Guadeloupe, nous avons voulu faire un plateau de lancement dans l’avion alors que l’ensemble des passagers avaient déjà débarqué. Les membres d’équipages nous ont demandé de nous dépêcher parce qu’ils n’avaient pas que ça à faire. Jean-marc me demande alors de faire au plus vite pour qu’on puisse y aller. Je m’empresse alors de faire mon lancement et nous finissons par descendre de l’avion en laissant sur mon siège toutes mes affaires, matériels vidéo, sacs, argent et pièce d’identité. Si Jean-marc ne me l’avait pas fait remarquer assez tôt, l’avion repartait déjà sur la piste je ne sais où. Il fallu faire signe aux agents de piste et à l’hôtesse qui en avait déjà marre de nos têtes pour qu’on puisse récupérer tout mon matériel. «